Les apports de l’astronomie des autres peuples et cultures
Avec Richard Hinckley Allen, commence, au début du XXe siècle, l’introduction de noms d’étoiles non classiques, c’est-à-dire de noms grecs, latins ou arabes et de leurs adaptations dans les langues communs d’Europe.
Cet auteur indique en effet, non sans d’innombrables erreurs d’interprétation des appellations et de localisation des étoiles, non seulement des noms mésopotamiens, mais encore des noms chinois, indiens et d’autres civilisations et cultures.
Dès lors, les catalogues et atlas astronomiques s’inspirent de ces noms pour introduire dans leurs listes et s’y adjoignent progressivement des appellations issues des cultures les plus variées, noms amérindiens, australiens, maoris, etc.
Il n’est pas aujourd’hui de mois que ne soient introduits de nouveaux noms d’étoiles…
Ces appellations nouvelles constituent une puissance incitation à découvrir les représentations et l’imaginaire célestes des différents peuples.